D'abord horrifié par La Grande Motte, je l'ai trouvée plutôt chouette en comparaison du reste de la côte. Peut-être que dans trois siècles, s'il reste quelqu'un sur Terre, on imaginera que ces pyramides abritaient quelques rituels magiques devenus depuis obscurs aux nouvelles civilisations.
Partis à cinq à Sète chercher Fani, nous étions assis à six en revenant au port, fuyant les joutes du Grau du Roi et nous pâmant, au passage, devant les troupeaux de flamands roses pêchant devant Aigues-Mortes. Le vent nous a soûlés, le soleil tannés, le dîner rassasiés...