70 Jean-Jacques Birgé

Jean-Jacques Birgé

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jeudi 11 septembre 2008

Siné tout en doigté


Siné va trop loin, il ne respecte même plus les chats ! N'empêche que Siné Hebdo, "le journal mal élevé", est très agréable à lire, mise en pages aérée, grands dessins, chroniqueurs spirituels... Voilà qui fera de l'ombre à Charlie (pub dans Libé !) tant nombre de ses lecteurs ont décidé d'en suspendre la lecture après l'affaire Val (en plus c'est le même prix, 2 euros, même format, même sortie le mercredi) ! Je ne le lisais pas, pas plus que le Canard Enchaîné, mais je vais par contre acheter celui-ci pendant quelques semaines, histoire de voir et pour soutenir la rage qui anime ses acteurs.

7 ans, l'âge de raison ?


Au risque d'être traités d'obsessionnels du complot, commémorons une des plus grosses manipulations de l'Histoire, les attentats du 11 septembre 2001 commis contre le World Trade Center de New York, avec une vidéo en français du site Reopen911 qui étudie la démolition des trois tours (compilation de plusieurs films avec musique un peu ronflante en vue d'appâter un public trop jeune pour avoir vécu l'évènement). Si la démonstration ne vous convainc pas ou si cela ne suscite pas le moindre doute en vous, vivez tranquille dans le meilleur des mondes !
Si vous voulez en savoir plus, rendez vous sur leur site où 430 architectes et ingénieurs indépendants de l'association AE911Truth concluent que l'effondrement du WTC7 ne peut être que le résultat d'une démolition contrôlée... À l'image des deux précédentes ! Reopen911 montre également comment la piste américaine de l'anthrax trouve ses justifications et offre la traduction française du dossier Northwoods lorsque l'armée américaine préconisa au Président Kennedy d'organiser des attentats sur le sol américain attribués à Fidel Castro afin de justifier l'invasion de Cuba... Combien de temps faudra-t-il attendre pour que les prétendus professionnels de la presse fassent leur travail d'enquête sérieusement ? Leur mauvaise foi jette un discrédit sur la liberté des journaux qui les emploie. On peut toujours être suspicieux sur ceux qui ne croyaient pas au goulag ou sur ceux qui prétendaient ignorer l'existence des camps de concentration... Plus c'est énorme, mieux ça passe dans l'opinion. Quand la réalité dépasse la fiction, le spectateur n'y voit qu'une surenchère romanesque. Les assassins ont les mains libres.