Les vacances semblent bien compromises. Françoise présente Appelez-moi Madame en plein milieu du mois de mai au New Latina, elle n'a pas terminé la maquette de iKitchenEye et il reste pas mal de finitions sur Ciné-Romand qui doit sortir en DVD. Le mixage définitif devrait se faire la semaine prochaine, mais il reste encore certains sous-titres à réaliser, l'étalonnage et des petites bricoles. Ensuite il faudra préparer les éléments du DVD pour qu'Étienne puisse en faire la maquette à son retour d'Australie. Je vais essayer d'arracher quelques jours quelque part de quelque manière, mais rien n'est gagné. Comme la perspective s'éloigne jour après jour, je n'ai plus qu'à rêver de contrées lointaines, de parfums exotiques, de vols long courrier, de bruits de jungle, de saveurs inédites, de langues inconnues, de rien, la vacance ! Je pourrais toujours proposer un petit séjour à Lisbonne ou Barcelone, nous n'y sommes jamais allés ensemble... Françoise, si tu lis ce billet, tu sais ce qu'il te reste à faire ! Nous n'arrivons pas à décrocher. Lorsque ce n'est pas l'un, c'est l'autre. Moins j'ai de contraintes de planning, plus je m'escrime. Le travail programmé me donne bonne conscience et me permet de prendre le large plus facilement. Dès que les rendez-vous remplissent la grille, nous sommes cuits. J'aurais préférer aller me dorer le mou au soleil, fut-il islandais. C'est partie remise... Pourtant, prendre des distances est toujours salutaire. Une remise à zéro du compteur, ou plutôt du conteur, et c'est reparti pour un tour ! Et puis c'est plus sympa que de devoir s'arrêter en tombant malade, non ? Enfin, on verra bien...