éuɹnoʇǝɹ ʇnoʇ sıns ǝɾ
ǝʇdɯoɔ uǝ sıɹd sɐd ʇuos ǝu sʇuǝɔɔɐ sǝl ǝpnʇıqɐɥ,p ǝɯɯoɔ sıɐɯ
sǝlɐʇıdɐɔ sǝl ǝnb snld sɐd
ʇuɐsnɯɐ ʇsǝ,ɔ sɐɔ snoʇ uǝ
ǝƃɐssǝɯ ǝl ɔǝʌɐ ǝɔuɐʇsıp ǝun ʇınpoɹd ɐlǝɔ

En 1993, j'avais écrit le texte d'une chanson dont voici un extrait. Trop maladroite, nous ne l'avons jamais terminée. L'idée m'en était venue parce que Freddie m'appelait "Monsieur Tout-à-l'envers" :

J'ai toujours fait les pieds au mur
Pour pouvoir mille lieues réfléchir
Enfant je réinventais mes jouets
En les retournant à toute allure
Et dans ma chambre se déguisaient
De nouvelles histoires à dormir
Debout musique le matin tôt
Pour ondes courtes et pompe à vélo

Penser à l'envers
Les plaies ne me disent rien qui vaille, la gêne
Penser à l'envers
Et contre tout ce qui nous étouffe, sans peine
Penser à l'envers
Défoule des foules...

Reprendre les acides et les bases
Un petit degré sur le rapporteur
Et c'est la boule qui chavire
Les continents qui se rejoignent
Des passés s'ils font table rase
Y a pas d'avenir sans les leurres
Ne pas y croître pour grandir
Crochus les atomes s'éloignent

Penser à l'envers
Les plaies ne me disent rien qui vaille, les filles
Penser à l'envers
Et contre les toux qui vous étouffent, pastille
Penser à l'envers
Des foules dessoûle...

˙˙˙suoɯ à ɹoıslǝɔxǝ,l ǝp ǝlqɐʇ ǝun,p ɔuız ǝl ɹns oʇoɥd ɐɯ sıɹd ɐ ǝuıoʇuɐ