Il pleut. Je ne bouge pas. Plongée dans le mode d'emploi de mon nouveau compact, un petit Lumix à glisser dans la poche où que j'aille ou me promène. Là, je fais du sur place. La rotation de l'objectif de mon vieux Coolpix 4500, plus de dix ans et seulement cinq millions de pixels, me permettait de faire des photos sans avoir l'air de viser, de cadrer les autoportraits seul ou en groupe, de prendre en plongée ou contre-plongée. Tout cela me manquera cruellement, mais je découvrirai forcément d'autres pratiques. Depuis fort longtemps il manquait au Nikon quelques pixels, comme des trous d'épingle. Igor dit que j'aurais mieux fait de prendre un Olympus pour la qualité des images. Je rêvais d'un Reflex, mais il ne m'aurait pas servi à grand chose. Trop gros, je l'aurais oublié à la maison. Là j'y suis, mais ce ne sont que des tests. Il y a de drôles de commandes comme la transformation pour affiner les silhouettes ou un onglet pour animal domestique ! La reconnaissance de visage est impressionnante. La fonction "filmer" du TZ7 fait du HD stéréo, mais ce ne peut être qu'un pis aller lorsque l'on n'a pas de caméra sous la main. Mon petit enregistreur Korg MR1 dans une poche, l'appareil-photo dans l'autre, je suis certain d'avoir au moins ce dont j'ai besoin en cas d'imprévu prévisible. On verra bien.