Mon choix de lever le pied des réseaux sociaux ne m'empêche pas de réfléchir. Je me connecte beaucoup moins dans la journée, privilégiant des échanges directs, quitte à respecter les distances de sécurité, histoire de ne pas inquiéter ma famille... Ces discussions sont souvent passionnantes, même si pour l'instant elles n'aboutissent nulle part...
Car nous nageons en pleine confusion. Nous sommes de plus en plus nombreux à exprimer des doutes sur la crise sanitaire, sur sa nature ou l'exploitation qui en est faite. Il y a quelque chose qui d'évidence cloche dans le bel équilibre sociétal qu'on prétendait nous vendre ou dans la gestion de la pandémie. Soit le Covid-19 est beaucoup plus dangereux qu'on nous le raconte, soit sa dangerosité est surestimée, mais à quelles fins ? Dans tous les cas, les mesures prises semblent inappropriées.
La presse nationale épouse largement les mouvements contradictoires de notre gouvernement dont l'incompétence égale l'ignominie. Valet des banques à la solde des ultra-riches, il casse les acquis sociaux en préservant les avantages fiscaux qui leur sont faits. D'un autre côté, la majorité de la population sent bien que la pénurie de tests ou de masques lui incombe, et l'on finit pas se demander sérieusement à quoi rime le confinement. N'est-ce pas reculer pour mieux sauter ? Quel que soient ses modalités, le déconfinement refera automatiquement repartir la contagion. Il aura simplement servi à décongestionner les hôpitaux victimes d'une politique criminelle dénoncée toutes ces dernières années.
Or le virus ne s'épuisera que lorsque 60% à 80% de la population l'aura attrapé, un vaccin ne semblant pas être prêt avant plus d'un an. Et tant bien même, on a l'habitude avec la grippe saisonnière, ces petits organismes ont la fâcheuse tendance à muer. Le corona ne serait qu'un virus un peu plus méchant que d'habitude, ses symptômes étant très divers et variant selon les défenses immunitaires des individus. Des asymptomatiques aux cas mortels l'échelle est la même que pour n'importe quelle grippe. Rappelons que, sur les environ 5 000 espèces de virus connues, seules 129 sont pathogènes pour les humains. Souvenons-nous aussi que personne ne parla de la grippe de Hong Kong qui fit plus de 30 000 morts en France et environ un million dans le monde en 68-69. Constatons encore que le nombre de morts dû au coronavirus est tellement loin de celui des décès liés à la famine (25 000 par jour dans le monde) ou provoqués par d'autres pathologies et accidents. Si dans des articles précédents j'ai déjà évoqué additions et soustractions, il faut noter que nombreuses morts imputées au virus n'ont fait l'objet d'aucun test. Les statistiques correspondent aux sondages avant des élections, du marketing !
Quelles que soient les réponses à ces nombreuses questions, le confinement global semble une faillite des responsables au pouvoir, sauf dans de rares pays où seuls les plus fragiles et leurs proches ont été isolés, avec distribution de masques suffisante et tests idoines. La méthode est digne du Moyen-Âge. Que ce soit à des fins mercantiles et cyniques comme le Medef ou par inquiétude de privation de libertés comme peuvent le craindre les plus rebelles, de plus en plus de monde s'interroge sur l'opportunité du confinement global et l'allongement répété des délais. Le 11 mai est une date aussi bidon que les précédentes évidemment. La prochaine fois le guignol annoncera le 15 juin !
Si vous êtes d'humeur "conspirationniste" (n'y voyez aucun mépris, c'est ainsi que le pouvoir appelle ceux qui remettent en doute le discours officiel), vous adorerez la prestation vidéo de Jean-Jacques Crèvecoeur, dans son 33ème monologue qu'il nomme abusivement "conversation", intitulé se soumettre ou se mettre debout. Le vaccin obligatoire et le puçage de toute la population font bien partie des questions à l'ordre du jour. L'histoire de l'humanité s'est construite sur la violence et des génocides (pas seulement humains puisque les autres espèces y passent régulièrement, et de manière exponentielle) en s'appuyant toujours sur des manipulations de l'opinion et de fausses légitimités. Pour quelles raisons notre société prétendument démocratique échapperait-elle à cette loi ? Sommes-nous à l'abri du retour de la Bête ? Il est certain que nous sommes bien sages, obéissant gentiment à la police passée de la castagne aux contraventions, la peur fonctionnant magnifiquement. Je ne peux m'empêcher de penser à la France de Vichy où la plupart des gens faisaient simplement l'autruche, sans parler de la délation.
Si vous préférez les essais expérimentaux des médecins mosellans constatant l’efficacité d’un protocole à base d’azithromycine, vous vous intéresserez aux alternatives à l'industrie pharmaceutique, toujours aussi vénale. Comme celle du Professeur Raoult, un mandarin parmi les autres dont la communication médiatique n'est pas différente des confrères qui l'attaquent. Et alors ? Il reste incroyable que l'hydrochloroquine ait été inscrite sur la liste II des substances vénéneuses après avoir été utilisée contre le palud par des centaines de millions de personnes pendant 70 ans sous le nom de nivaquine et que le gouvernement l'ait ensuite conseillée pour les patients en phase terminale alors qu'elle ne serait efficace que dans les premiers jours de l'infection... Vous avez entendu son coût par rapport à celui du protocole avancé par les laboratoires pharmaceutiques, quelques euros contre 400 ! Si vous voulez flipper à propos de l'origine du virus, sachant que le pangolin a été mis hors de cause, vous pourrez imaginer une guerre bactériologique (Chine ou USA ?) ou l'accident de laboratoire (celui du Wuhan est classé 4e du monde en virologie)... On a vraiment l'embarras du choix ! À défaut d'être vraisemblables, tous les scénarios dystopiques ont déjà été traités par les auteurs de science-fiction et les pires exactions ont été expérimentées au cours de l'Histoire. Rien de rassurant !
Plus certainement, on aura assassiné quantité de PME, de petits commerces, fragilisé les artistes et les artisans au profit des multinationales et de la grande distribution, réduit le salaire des plus pauvres et engraissé comme d'habitude les plus riches. Les pertes des uns fait toujours le bonheur de quelques autres. L'économie repartira de plus belle sans redistribution des cartes. Le gentil capital pourra justifier son échec en faisant porter le chapeau au méchant virus.
Certain/e/s ne manqueront pas de me demander quelle est mon intime conviction. Je n'ai aucune réponse. Je ne suis pas devin. Les informations que je reçois sont souvent contradictoires (sic). Comme nombreux d'entre nous. Nous vivons en pleine confusion et les décisions des politiques ne font qu'amplifier notre désarroi. Il me semble simplement absurde de ne pas nous interroger. Il est indispensable de rester en veille, en tentant de décrypter les discours alarmistes ou rassurants de ceux qui nous gouvernent et de leurs maîtres. Ces incompétents nous prennent sans nul doute pour des imbéciles. Préparons-nous au pire en espérant de bonnes surprises.
La vie est ainsi faite de cette alternance de bonnes et mauvaises nouvelles. Tout est construit sur des cycles. On peut jouer sur les amplitudes, mais les fréquences sont hélas incertaines...