Jean-Jacques Birgé - Commentaires
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fr2008-07-15T08:51:17+02:00daily12008-07-15T08:51:17+02:00Le rocher du Rorschach - jjb
http://www.drame.org/blog?2008/07/15/1010-rocher-du-rorschach#c2825
2008-07-15T08:51:17+02:00jjbChère Mathilde,
merci pour ton commentaire plein d'espoir.
Je me souviens pourtant de la réponse de Louis Aragon à qui un journaliste demandait comment il avait pu écrire "Il n'y a pas d'amour heureux". L'écrivain répondit qu'il avait écrit ce poème (plus tard mis en musique par...Chère Mathilde,
merci pour ton commentaire plein d'espoir.
Je me souviens pourtant de la réponse de Louis Aragon à qui un journaliste demandait comment il avait pu écrire "Il n'y a pas d'amour heureux". L'écrivain répondit qu'il avait écrit ce poème (plus tard mis en musique par Georges Brassens) pendant l'Occupation, et "qu'il aurait été un salaud" d'écrire autre chose.
Mes rêves, la chance et mon bonheur de vivre souffriront toujours de l'ombre portée par le monde où nous vivons. J'ai mal à l'homme, qu'y puis-je ?
http://www.paroles.net/chanson/15929.1
http://www.deezer.com/#music/result/all/il%20n%27y%20a%20pas%20d%27amour%20heureux]]>Le rocher du Rorschach - tilde.m
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2008-07-15T01:38:44+02:00tilde.mOn dirait un haïku version director's cut! magnifique!
J'ai beaucoup de plaisir à retrouver le JJb contemplatif qui, hors des sentiers clôturés, traque les sentiments, loin des contrées urbaines que nous fuyons tous! Un autre tempo, un autre regard, serein et près de la terre. J'adore!...On dirait un haïku version director's cut! magnifique!
J'ai beaucoup de plaisir à retrouver le JJb contemplatif qui, hors des sentiers clôturés, traque les sentiments, loin des contrées urbaines que nous fuyons tous! Un autre tempo, un autre regard, serein et près de la terre. J'adore!
Dirais tu encore:
"Car, reconnaissons-le, la vie d’homme est une chose difficilement supportable, avec son cortège de contradictions, d’inégalités et d’épreuves." (sic ton article ) après avoir vu des canetons naître?
Je ne crois pas, même après la déchirante séparation que tu nous as racontée. (on a tellement de plaisir à se retrouver!)... Malgré les amitiés changeantes que tu nous as rapportées : "un jour je te trahirais, et ce jour là, j'aurais besoin de toi, comme ami".. disaient les surréalistes. Pour ma part, après avoir passé huit mois en intraveineuse avec des ordis, je ne retrouve enfin une respiration vraie qu'après trois jours intenses d'exposition au soleil et à l'amitié! ! On se déchire, on s'atrophie le coeur, on s'immole, et un quart d'heure de soleil plus tard, tout parait plus serein.
Je crois qu'une vie d'homme, faite de goûts, de couleurs et d'amitiés, se supporte très bien. Si tu n'en es toujours pas sûr : rejoignez-nous sur le festival d'Avignon, Françoise, les copains, et toi!! Une pièce, un verre, un platane plus tard, plus rien ne nous atteint! Je vous embrasse fort.