Narguer les oiseaux en tentant de les imiter. Ramasser les feuilles mortes sur un air de Kosma. Regarder le soleil se coucher. Après mes articles longs comme le bras sur la gestion imbécile de la crise sanitaire, une pause végétale s'impose. La glycine embaume à m'en faire tourner la tête et le tamaris ressemble à des branches de givre rose. Pourtant je suis contrarié par ma photo. Le porte-vélos en bas à gauche semble tombé alors qu'il est toujours sur ses pieds. Je suis sorti vérifier et je ne comprends toujours pas cette illusion d'optique. Et puis c'est tout. J'avais promis.