70 octobre 2005 - Jean-Jacques Birgé

Jean-Jacques Birgé

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vendredi 14 octobre 2005

Les Allumés du Jazz

Le Journal n° 13 vient de sortir (exceptionnellement 64 pages). Une autre manière de raconter les choses. C'est gratuit, il suffit de s'abonner aux ADJ, 128 rue du Bourg Belé 72000 Le Mans, ou de se connecter au site des Allumés.

Double numéro avec une nouvelle mise en pages (conception graphique Daphné Postacioglu) : Archie Shepp au Cours du Temps, des cartes blanches aux labels Emil 13 et Gimini, des entretiens avec Claude Tchamitchian et Olivier Sens, un dossier sur le rap, des articles signés Jean-Jacques Birgé, Etienne Brunet, Pablo Cueco, Jean Morières, Jean Rochard, Jean-Louis Wiart, une question sur Evan Parker, une autre à Michèle Buirette, la photo de Guy Le Querrec commentée par François Cotinaud, des images encores plus belles, une nouvelle série de dessins de Cattanéo, les opération Cabine 13 (des CD encore moins chers) et Big Promo (vinyles à 8 euros)... Et le supplément de 24 pages annoncé sur le Forum du Disque ! En tout, 60 pages avec des textes passionnants (le Journal des Allumés a été salué par Francis Marmande dans le Monde Diplomatique) comme le seul canard de jazz avec un contenu politique !) et des images maginifiques...

samedi 1 octobre 2005

FluxTune / Coexistences

Deux directions très différentes. FluxTune est un instrument, Coexistences une œuvre. L'utilisateur pourra s'approprier le premier et composer sa propre musique avec, tout y est question de maîtrise, même si la surprise est la règle n°1.
Le visiteur se fera son propre cinéma avec la seconde, entraîné par les suggestions de son inconscient fortement sollicité par la programmation des images et des sons.

Ça devient de plus en plus fantastique. Fred propose qu'on donne la possibilité d'intégrer ses propres instruments, qu'on utilise ceux de la norme SoundFont, et pour les musiciens, la possibilité d'attaquer leurs propres instruments en midi.
Il a également amélioré la gestion des bloqueurs qui font rebondir les particules, et ajouté un trou qui les avale !
De mon côté, j'essaie de comprendre comment fonctionnent les aiguillages, et les possibilités de chaque réglage en vue d'une plus grande maîtrise des règles de composition musicale.
Parallèlement, pendant que Nicolas bûche sur les tableaux de Coexistences, après que je lui ai envoyé les ambiances naturelles, j'enregistre ma voix passée dans l'Eventide. Je crains d'en faire trop, de charger le son. Trois systèmes vont jouer ensemble, comme un triple concerto avec trois solistes et trois orchestres. Les décors sonores doivent pouvoir s'additionner, dans la complémentarité (effet de couches pour les ambiances, ping-pong pour les solistes). Solution, régler bas le volume des ambiances qui fabriqueront une matière en mouvement permanent, rendre clairs les chanteurs dont les visiteurs joueront interactivement.